Dompter la bête...

Cà y est, après quelques mois de mutisme, je reprends la plume…

Depuis deux mois déjà, j’ai repris la route de l’entraînement, à un rythme relativement soutenu…

Mais une chose a changé !!! Le bateau !

Fini le Laser, place au Finn. Dès début septembre, j’ai attaqué les entraînements pour essayer de dompter la « bête » !

L’image est à peine exagérée ; 70kg et 3m² de voilure en plus par rapport au Laser pour une longueur quasi-identique…. Si le Laser jouait déjà dans la catégorie « gros bras », le Finn est clairement « hors catégorie » ! Il faut donc apprendre à lui parler gentiment et ne surtout pas se croire plus fort que lui sous peine de se faire mal.

Parallèlement j’ai donc aussi pris la route de la salle de musculation pour me mettre le plus vite possible au niveau. Si mes 84kgs suffisaient pour le précédent support, il faudra ici en faire minimum 95 pour espérer jouer avec les meilleurs.

A raison de huit séances de sport par semaine, plus la navigation, et en faisant honneur aux bons petits plats de maman, les 92kgs sont déjà atteints et la garde robe commence à devoir être renouvelée.

En contre partie, j’attaque tout ceci avec une envie que je n’avais pas connue depuis longtemps (vive la nouveauté) et les progrès sont énormes à chaque navigation.

Ce week-end était en plus l’occasion de me confronter à d’autres pour la première fois lors du National Finn qui avait lieu à Maubuisson, sur le Lac d’Hourtin.

Cà y est, après quelques mois de mutisme, je reprends la plume…

Depuis deux mois déjà, j’ai repris la route de l’entraînement, à un rythme relativement soutenu…

Mais une chose a changé !!! Le bateau !

Fini le Laser, place au Finn. Dès début septembre, j’ai attaqué les entraînements pour essayer de dompter la « bête » !

L’image est à peine exagérée ; 70kg et 3m² de voilure en plus par rapport au Laser pour une longueur quasi-identique…. Si le Laser jouait déjà dans la catégorie « gros bras », le Finn est clairement « hors catégorie » ! Il faut donc apprendre à lui parler gentiment et ne surtout pas se croire plus fort que lui sous peine de se faire mal.

Parallèlement j’ai donc aussi pris la route de la salle de musculation pour me mettre le plus vite possible au niveau. Si mes 84kgs suffisaient pour le précédent support, il faudra ici en faire minimum 95 pour espérer jouer avec les meilleurs.

A raison de huit séances de sport par semaine, plus la navigation, et en faisant honneur aux bons petits plats de maman, les 92kgs sont déjà atteints et la garde robe commence à devoir être renouvelée.

En contre partie, j’attaque tout ceci avec une envie que je n’avais pas connue depuis longtemps (vive la nouveauté) et les progrès sont énormes à chaque navigation.

Ce week-end était en plus l’occasion de me confronter à d’autres pour la première fois lors du National Finn qui avait lieu à Maubuisson, sur le Lac d’Hourtin.

Cà y est, après quelques mois de mutisme, je reprends la plume…

Depuis deux mois déjà, j’ai repris la route de l’entraînement, à un rythme relativement soutenu…

Mais une chose a changé !!! Le bateau !

Fini le Laser, place au Finn. Dès début septembre, j’ai attaqué les entraînements pour essayer de dompter la « bête » !

L’image est à peine exagérée ; 70kg et 3m² de voilure en plus par rapport au Laser pour une longueur quasi-identique…. Si le Laser jouait déjà dans la catégorie « gros bras », le Finn est clairement « hors catégorie » ! Il faut donc apprendre à lui parler gentiment et ne surtout pas se croire plus fort que lui sous peine de se faire mal.

Parallèlement j’ai donc aussi pris la route de la salle de musculation pour me mettre le plus vite possible au niveau. Si mes 84kgs suffisaient pour le précédent support, il faudra ici en faire minimum 95 pour espérer jouer avec les meilleurs.

A raison de huit séances de sport par semaine, plus la navigation, et en faisant honneur aux bons petits plats de maman, les 92kgs sont déjà atteints et la garde robe commence à devoir être renouvelée.

En contre partie, j’attaque tout ceci avec une envie que je n’avais pas connue depuis longtemps (vive la nouveauté) et les progrès sont énormes à chaque navigation.

Ce week-end était en plus l’occasion de me confronter à d’autres pour la première fois lors du National Finn qui avait lieu à Maubuisson, sur le Lac d’Hourtin.

62 participants (dont 1 Hongrois, 1 Suédois, 3 Portugais, 3 Anglais, et 2 Hollandais), 5 manches courues  pour moi avant que…. Je n’abandonne pour cause de blessure à la cuisse. Rien de trop grave finalement mais 15 jours de repos forcé et la satisfaction d’avoir régaté aux avant postes et remporté une manche dès ma première participation.

Voilà la preuve que la bête n’est pas encore domptée, mais le défi est passionnant !!

A bientôt.